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West African Resources a lancé la production d’or à Kiaka, au Burkina Faso, en avance sur le calendrier, confirmant son ambition de devenir un grand producteur aurifère en Afrique de l’Ouest.

Le Burkina Faso obtient 187 millions d’euros de la BID pour réhabiliter 300 km de routes, renforcer ses échanges régionaux et améliorer l’accès aux marchés pour plus de 6,7 millions de personnes.

Vista Group Holding a finalisé le rachat de Société Générale Burkina Faso, consolidant sa position dans le pays aux côtés de Vista Bank et Vista Assurances, dans un contexte où la Société Générale poursuit son retrait progressif d’Afrique au profit d’acteurs bancaires africains en pleine expansion.

À Ouagadougou, la 33ᵉ Assemblée générale des sociétés d’État a révélé une forte croissance en 2024, avec 19 entreprises bénéficiaires sur 21. Des réformes sont en cours et les travaux se poursuivent ce vendredi 27 juin.

Le Burkina Faso imposera dès le 1er août 2025 les intérêts des emprunts publics étrangers de l’UEMOA, mettant fin à une exonération sans base légale, afin de sécuriser ses recettes fiscales.

En 2025, le Burkina Faso augmentera sa production d’or de 4% à 55,7 tonnes, grâce à la relance de la mine de Youga et au démarrage de la mine Kiaka, selon Aristide Belemsobgo. Cette hausse, portée par des cours record, renforce l’or comme moteur économique pour la junte d’Ibrahim Traoré, malgré l’insécurité et les incertitudes sur l’exploitation artisanale.

Le 22 mai 2025, à Bobo-Dioulasso, le président Ibrahim Traoré a remis 104 milliards FCFA d’équipements agricoles, dont 608 tracteurs et 70 000 tonnes d’engrais, pour l’« Offensive agropastorale 2023-2025 ». Avec 2000 hectares irrigués et des services subventionnés, le Burkina Faso vise l’autosuffisance alimentaire, malgré les défis climatiques et logistiques.

Le Mémorial Thomas Sankara, récemment inauguré à Ouagadougou, pourrait devenir un levier économique pour le Burkina Faso en attirant du tourisme mémoriel, en créant des emplois locaux et en renforçant l’influence culturelle du pays à condition d’une gestion rigoureuse et d’une vision à long terme.

Le 6 mai 2025, le Burkina Faso a lancé l’usine Faso Guulgo à Koubri, produisant 100 tonnes par jour d’aliments pour bétail, volailles et poissons, pour renforcer l’élevage (11% du PIB, 70% de la population active). Nationalisée après l’échec de SOFAB, elle vise des aliments abordables, moins d’importations et plus d’exportations de viande, mais doit relever des défis financiers, d’approvisionnement et de concurrence.

Le Burkina Faso lance le projet REPAIR de 140 millions de dollars pour améliorer l'éducation et renforcer la résilience du système scolaire, bénéficiant à 2,2 millions d’élèves, dont 60 000 filles, avec un focus sur les infrastructures et l’éducation d'urgence.