Tag: croissance économique

Le FMI a approuvé une nouvelle aide de 60,5 millions de dollars au Togo, où la croissance reste forte malgré des défis sécuritaires et une dette élevée. Le gouvernement avance dans ses réformes pour renforcer l’économie et stabiliser les finances publiques.

La Banque mondiale alerte sur une croissance de 3% en 2024 dans la zone CEMAC, jugée trop faible pour réduire la pauvreté, qui touche un tiers de la population. En cause : la dépendance aux matières premières, peu créatrices d’emplois, et l’absence de réformes structurelles. L’institution recommande d’accélérer les réformes, de diversifier l’économie et de mieux soutenir les populations vulnérables.

L’économie du Ghana a progressé de 5,3% au 1er trimestre 2025, portée par les services et l’agriculture, malgré la chute du secteur pétrolier et des fragilités persistantes.

La Zambie amorce une reprise économique grâce à l’agriculture et aux mines, mais reste fragilisée par des pénuries d’électricité, une dette élevée et des pressions budgétaires. Le FMI appelle à des réformes urgentes pour renforcer cette relance encore précaire.

Le FMI et le Niger ont conclu un accord préliminaire sur deux programmes économiques, avec des décaissements attendus en juillet 2025. Malgré un contexte difficile, la croissance reste solide à 6,6%, et les autorités s’engagent à poursuivre les réformes fiscales et climatiques tout en maintenant la stabilité budgétaire.

La RDC a signé un accord technique avec le FMI malgré l’escalade du conflit dans l’est, confirmant une croissance solide en 2024 mais des tensions budgétaires accrues. Pour y faire face, le pays adapte son programme économique en renforçant ses recettes, rationalisant ses dépenses, et menant des réformes structurelles, tout en préparant une transition vers une économie plus durable.

L’UEMOA a connu une forte croissance en 2024, mais reste fragilisée par un déficit budgétaire élevé et une dette importante, malgré des perspectives économiques prometteuses.

« La transformation économique du Bénin se poursuit, portée par l'augmentation des exportations de biens à valeur ajoutée et par le dynamisme des technologies...

En 2024, le Burkina Faso a connu une croissance de 5,1%, soutenue par l'agriculture et les services. Bien que l'inflation soit maîtrisée à 4,2%, des défis demeurent, notamment la dépendance à l'or. Les prévisions pour 2025-2027 sont optimistes, dépendant d'une meilleure situation sécuritaire et de réformes continues pour diversifier l'économie.

Ces mesures sont nécessaires mais leur mise en œuvre reste incertaine. Le Ghana a-t-il la volonté politique d’engager des réformes aussi impopulaires que cruciales ? Sans action rapide, le pays risque une récession prolongée, une montée du chômage et une explosion des tensions sociales.