Côte d’Ivoire : Une hausse de près de 12% pour l’activité bancaire par rapport à 2018.

Le secteur bancaire en Côte d'Ivoire a connu une amélioration de près de 12% .Ce chiffre est en hausse comparé à l’année précédente. Information donnée par Guy Koizan, président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbefci). Et ce, le vendredi 22 mars 2019, lors la session de formation des journalistes sur le dispositif Bâle II et Bâle III applicable à l’activité bancaire depuis le 1er janvier 2018.

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«  Nous avons fait globalement une hausse, comparativement à l’année dernière, de près de 12%, concernant l’activité bancaire. Depuis 2011, nous ne faisons que connaître des évolutions régulières, de sorte qu’en terme cumulé, nous ne sommes pas loin du 100% par rapport à 2011. C’est dire que nous sommes vraiment au service de l’économie ivoirienne » a révelé le président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbefci), Guy Koizan.

Pour  lui, ce pourcentage  revèle un secteur bancaire ivoirien en plein évolution malgré le taux de bancarisation faible et les insuffisantes du secteur.

Cependant, a-t-il affirmé, les banques ivoiriennes sont parvenues à réaliser les changements qui s’imposaient afin d’être aux normes vis-à-vis de la réglementation.

Un taux de bancarisation très faible avec un secteur en plein émergence, ceci pourrai  prêter confusion. Le président de  l’Apbefci, n’a jusqu’alors donné aucun détails sur cette évolution.

Pour rappel, la formation des journalistes à Bâle II et Bâle III,   a pour objectif de permettre aux hommes de médias de se familiariser aux nouvelles règles qui guident le secteur bancaire. Ce qui permet de mieux sensibiliser «  ceux qui informent l’opinion publique sur les contraintes de l’activité bancaire, de contribuer efficacement à l’éducation financière des populations ».Ainsi qu’a l’amélioreration de la «  perception et la compréhension des populations de l’activité des banques, notamment le crédit », a justifié le président de l’Apbefci.

Meliane Nomel

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